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LE PLUMAGE DES OISEAUX

Anatomie du plumage

Généralités

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Beaucoup pensent que la totalité de la peau de nos oiseaux est recouverte de plumes, cette croyance qui tient de la légende est totalement fausse. Il n'y a qu'à bien observer une boule de plumes pour le constater. D'ailleurs, ces zones sans plumes portent un nom : aptéries, et celles avec sont nommées ptérylies.

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Le plumage en lui-même a pour fonction de permettre aux oiseaux de réguler leur température corporelle, il les isoles, possède une fonction d'imperméabilisant et enfin, il est indispensable pour le vol. Il est constitué de pas moins de neuf types de plumes différents et "spécialisés".

Les plumes de couverture

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Elles couvrent la base des rémiges et des rectrices tout en leur étant similaires, mais plus courtes. Leur vocation est de les protéger et de les renforcer.

Le duvet

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Il s'agit des petites plumes toute douces, généralement de couleur blanche ou grise. Sa fonction est isolante.

Les semi-plumes

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On les trouve à la naissance des ptérylies (zones de plumes), en marge ou en contours. Leur utilité est d'isoler l'oiseau.

Les vibrisses

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Semblables à des petits poils. Elles sont situées autour des yeux, à la commissure du bec et, chez certaines espèces, autour des narines. Leur fonction est sensorielle, elles permettent aux oiseaux de s'informer sur ce qui l'entoure. Elles servent également de protection, un peu comme nos cils pour nos yeux.

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Les rémiges

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Les rémiges sont les longues plumes des ailes plutôt rigides. Elles sont spécialisées dans le vol : elles permettent la propulsion et le freinage. On en distingue deux types les primaires, situées aux extrémités des ailes et les secondaires plus proches du corps.

Les rectrices

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Il s'agit tout simplement des plumes de la queue. A l'image d'un gouvernail d'avion elles permettent à nos oiseaux de diriger leur vol.

Les plumes de contour

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Ces plumes recouvrent le corps des oiseaux. Elles contribuent à l'isolation thermique des boules de plumes.

Le duvet poudreux

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Ces plumes se détruisent au fur et à mesure qu'elles poussent. Elles tiennent leur nom du fait qu'elle produisent une poudre blanchâtre que les oiseaux rependent sur leur plumage au moment de la toilette ou du lissage (sujet du lissage abordé plus loin). Cette poudre est indispensable car elle a un rôle d'imperméabilisant.

Les filoplumes

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Ces plumes accompagnent les plumes de contour. Elles permettent aux oiseaux de sentir si son plumage est parfaitement en place afin qu'il puisse jouer son rôle.

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Tout sur le plumage

La Mue

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Tout comme nous renouvelons nos poils et cheveux, les oiseaux ont besoin de renouveler leur plumage. Plumes usées, cassées ou abimées sont renouvelées par un mécanisme naturel que l’on nomme la mue ( et chez l’homme, la calvitie mais qui hélas ne repousse plus passé un âge certain ).

Elle a lieu deux fois l’an chez les adultes, elle dure en moyenne deux semaines et, renouvèle la totalité du plumage sans laisser de zone sans repousse. Sous nos latitudes il y en a une au printemps et une en automne. Les jeunes connaissent aussi une première mue lorsqu’ils perdent leur duvet pour avoir leur plumage aux couleurs définitives.

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En cette période votre boule de plume consomme beaucoup d’énergie,  car elle accélère son métabolisme pour alimenter en sang ses nouvelles plumes (souvent au début de pousse, plus foncées qu’une fois totalement renouvelée). Je conseille donc d’ajouter à l’alimentation de votre oiseau de la pâtée fortifiante et des vitamines. Il faut en même temps veiller à ce que l’alimentation de votre protégé soit parfaitement bien équilibré. J’ajoute davantage de produits frais, des fruits plus vitaminés en cette période, ainsi que (très peu) des fruits secs (noix & noisettes à écosser et casser en petits morceaux).

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Ne vous inquiétez donc pas en ces période de voir des plumes au fond de vos cage ! Sachez cependant que votre oiseau ne se retrouve pas totalement déplumé en cette période, la nature fait bien les choses 😉

La taille des plumes

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Voilà un sujet bien délicat car très controversé. Certains sont pour, d’autres sont contres et la tolérance entre ces deux opinions est proche de 0. L’idée n’est pas ici de faire un procès à qui que ce soit, pour ma par, couper les plumes de mes oiseaux ne m’a jamais traversé l’esprit mais je respecte le choix des autres. Aussi, je ne vise pas avec ce sujet au débat, mais plutôt à partager un maximum d’informations ainsi que mon point de vue à ce propos. La tolérance commence par l’acceptation avec respect d’opinions différentes de nos convictions profondes.

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Le vol est, pour tout oiseau, indispensable à son équilibre qu’il soit physique ou mental puisque la nature les a conçu et programmé pour cela. Il s'agit de lui imposer une restriction physique. Selon les individus cela peut jouer sur leur mental mais aussi sur leur santé physique car qui dit absence de vol dit aussi moins d’exercice physique et donc plus de risque de faire du « gadougadou », autrement dit les oiseaux ne pouvant pas voler sont plus exposés à la prise de poids à moins d’adapter ses interactions avec son oiseau en conséquence. De plus en cas de chute, votre boule de plumes peut se blesser.

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Comme je le disais, votre oiseau peut être atteint psychologiquement par la

taille de ses plumes. Cela va jouer sur sa confiance en lui-même puisqu'il

sera incapable de fuir. Ne pouvant s'envoler, un très grand stress l'envahira

pouvant le rendre nerveux et de ce fait, toucher son équilibre

mental.

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De plus en cas de peur le premier réflexe d’un oiseau est de s’envoler pour

se poser hors de tout danger (du moins hors d’atteinte de ce qui pour eux

représente un danger). S’ils ne peuvent plus fuir, s’ils sont acculés, très

souvent ils deviennent mordeurs, voire même, pour les cas les plus extrêmes,

particulièrement agressifs.

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J’ai pu constater qu’il y avait 2 types de taille des plumes des ailes. La totale qui comprend les rémiges primaires (les 10 premières plumes du bas de l’aile en partant de l’extrémité extérieure de l’aile) et les rémiges secondaires (les 10 premières plumes les plus basses de l’aile en partant du corps de l’oiseau) ou celle qui consiste à restreindre le vol qui signifie que seule une partie des rémiges primaires (les 7-8 premières plumes du bas de l’aile en partant de l’extrémité extérieure de l’aile maximum) sont coupés. Cependant, en aucun cas les plumes de couverture ne doivent être touchées. Toutefois notez que la queue est un gouvernail pour nos boules de plumes et elle participe à l’équilibre de l’oiseau, elle ne doit donc jamais voir ses plumes être taillées.

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La taille des plumes est une opération délicate qu’il vaut mieux laisser faire par un éleveur, un vétérinaire ou en tout cas, quelqu’un d’expérimenté en la matière. L’oiseau peut ne pas coopérer et se débattre. L’opération est très stressante pour l’oiseau et nécessite un temps d’adaptation pour votre boule de plume. En effet, si elle avait l’habitude de se servir du vol pour se déplacer, de ses ailes comme impulsion, il va y avoir des chutes. Les os des oiseaux sont creux et donc très fragile. Je conseille donc de mettre au fond de la cage une épaisse couche de copeaux de bois pour amortir ainsi que des coussin autour de la cage lors des sorties.

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Cette pratique, quelle soit contestable ou non, a différents objectifs selon les motivations de celui qui la pratique. En animalerie par exemple, il n’est pas rare que les ailes des oiseaux soient taillées. Pourquoi ? Parce que si l’oiseau s’envolait, il pourrait passer par les portes grandes ouvertes du magasin, les conduits de ventilations, se percher à une auteur inatteignable, manger des choses pour lui toxiques, etc. Lorsqu’un propriétaire veut totalement contrôler son oiseau par exemple, il utilise cette méthode. Ainsi il gère totalement l’évolution dans l’espace de son oiseau. Ses motivations peuvent être la protection de ses proches parce que l’oiseau attaque, faire passer l’oiseau pour un MAN ou un EAM ou bien pire… Une croyance fait que beaucoup pensent qu’en taillant les plumes des ailes de son bec crochu, ils pourront le sortir à l’extérieur sans risque. Cela est faux puisqu’en utilisant les brises, le vent, votre petite fripouille pourra planer et partir très loin. Enfin, le but peut n’être qu’un ralentissement auquel cas une taille bien effectuée permettra un atterrissage en douceur.

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Une taille mal faite des plumes peut avoir de nombreuses

conséquences. Trop de plumes sont taillées : votre oiseau fera des

chutes brutales qui risqueront d’engendrer des blessures graves.

Les plumes sont taillées trop court : votre bec crochu aura les

mêmes problèmes que si trop de plumes ont été coupées avec en

plus de cela de l’inconfort lorsqu’elle referme ses ailes, ça le pique

et votre petit protégés se mettra à les mâchouiller jusqu’à ce

qu’elles tombent : véritable invitation au piquage. Enfin, les plumes

du bout de l’aile ne sont pas taillées : votre oiseau est déstabilisé

en tentant de prendre son envol ce qui provoque des chutes.

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Un dernier point à savoir, les plumes, ça repousse et du coup la taille est à recommencer à chaque fois… Et si vous avez acquis un oiseau aux plumes coupées, sachez qu’il ne faut pas vous inquiéter quand à ses habitudes une fois celles-ci repoussées : il ne lui faudra pas 10 minutes pour de nouveau maîtriser le vol ! Par contre n’oubliez pas qu’un oiseau est un athlète, s’il n’a pas volé depuis longtemps il pourrait se faire mal. Dès lors que vous avez pris la décision de laisser repousser les plumes, faites travailler les muscles de votre plumeau en lui faisant battre des ailes par exemple.

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Je conclurai cet article en vous donnant mon opinion et mon expérience en la matière sans pour autant pointer du doigt ceux qui le font. J’explique simplement mon point de vue et la manière dont cela se passe pour moi.

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Ici, il n’a jamais été question de couper des plumes. A l’arrivée de nos poules, nous leur avions fait pour ne pas qu’elle s’envolent auprès des chiens dans le jardin, puis une fois le jardin des poules sécurisé, nous avons cessé. Alors pensez-bien que couper les plumes de mes becs crochus, ça ne m’a même pas traversé l’esprit 1 seconde ! C’est en allant sur les groupes de Facebook que j’ai réellement découvert cette pratique. Toute fois nous avons eu une calopsitte aux plumes des ailes coupée, un peu de la queue aussi, tout cela suite à un accident. Clairement, le temps qu’il refasse son beau plumage, il était inactif, ne chantait plus, boudait tout le temps, se

montrait grincheux avec sa copine et ne voulait plus sortir de sa cage. Un vrai crève-cœur de le voir lui si mignon, si actif complètement prostré. Nous l’avons cependant retrouvé si tôt son plumage refait et surtout sa capacité de vol retrouvée ! Il s’affirme et s’exprime enfin de nouveau ! Un grand soulagement et une grande joie pour toute la maison.

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D’après moi, il faut connaître et être capable d’assumer ses limites. Si votre oiseau est agressif et attaque et que c’est pour cette raison que vous souhaitez lui tailler les ailes, c’est que, toujours selon moi, vous prenez le problème dans le mauvais sens. Il faut parfois accepter qu’un oiseau ne veille tout simplement pas d’interaction avec l’humain et surtout ne pas l’y forcer, c’est là que viennent les problèmes. Alors pour corriger le comportement de son oiseau, on change le sien et on reprend les

bases. Si ça devient ingérable alors il faut songer à se faire

aider par un professionnel du comportement aviaire type

bec crochu (éleveur, véto, comportementaliste), ne pas

hésiter à le faire intervenir chez soi. Si c’est possible,

envisager une volière d’extérieur pour votre boule de plume

lorsque le problème est insoluble et si vous ne pouvez pas et

que les agressions continue, il faut envisager de confier votre oiseau à quelqu’un d’autre et sauter le pas. Car dans une telle situation, ni vous, ni votre boule de plume n’est heureux 😉 Si la motivation est le contrôle et la maîtrise total de votre bec crochu en intérieur et/ou en extérieur, alors à mes yeux vous vous trompez d’animal.

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Un oiseau ne se dresse pas, il s’apprivoise, mais chacun fait comme il peut et pas toujours comme il veut 😉

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Les bains & douches

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J’ai remarqué qu’hélas bien souvent, on oublie de prévenir de l’importance de mettre à disposition des baignoires remplie ou de pulvériser à l’eau propre et claire pour nos oiseaux de cages et de volières qu’ils soient à becs crochus ou droits. Je vous propose aujourd’hui que nous nous penchions sur l’importance de cette « activité » pour nos boules de plumes.

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Les douches, les pulvérisations ou/et les bains d’eau claire et propre

sont indispensables pour nos oiseaux. Outre le fait d’amuser et de

procurer (presque toujours) du plaisir, ces activités ont un réel intérêt

pour nos boules de plumes. Il s’agit d’un besoin naturel qu’ils

assouvissent à volonté dans la nature. Il est donc indispensable que cela

soit proposé en captivité, mais pourquoi exactement ?

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Les douches, les bains, ont pour vocation première de nettoyer le

plumage de l’oiseau et de leur peau, mais également de les inviter à

faire leur toilette. Cela leur permet en plus de se laver, de chasser leurs parasites éventuels, la poussière ainsi que les plumes « mortes ». En période de mue, les bains facilitent la perte des « tubes » transparents contenant les nouvelles plumes.

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L’entretien du plumage par ce biais est indispensable. En effet, les plumes jouent un rôle crucial dans la thermorégulation des oiseaux et sans un parfait entretien, le plumage perd de son étanchéité. Certains spécialistes disent que l’humidification du plumage permet que la sécrétion uropygienne se répande mieux sur des plumes mouillées et en faciliterai le lissage. N’oublions pas que de ce celui-ci dépend la capacité de vol de nos oiseaux.

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Ces activités aquatiques permettent également aux oiseaux en période de chaleur de réguler leur température en se rafraîchissant. Une autre vertu des bains, baignades et vaporisation est l’hydratation, mais cela coule naturellement de source.

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Lors des périodes de grand froid, de gèle, il est conseillé de ne mettre les espaces de bain et baignades que dans les abris. Quel que soit la saison, il est recommandé de changer l’eau matin et soir.

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Lors des bains, les oiseaux ne détrempent jamais totalement leur plumage dans la nature ceci pour pouvoir continuer de voler, il est donc capital lorsque l’on

fait prendre des douches ou que l’on pulvérise ses boules

de plumes de ne pas le faire à moins que ce soit eux qui

le fassent. Un oiseau détrempé ne pourrait pas s’envoler

et cela risque d’être source d’incident et de panique.

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Il est important de souligner que les abreuvoirs et

gamelles d’eau doivent être différentes des accessoires de

bain car lors des baignades, il n’est pas rare qu’un oiseau se soulage dans l’eau. S’il a le choix un oiseau privilégiera généralement l’eau propre pour boire, aussi s’il n’a que le bain pour s’abreuver, il boira de l’eau souillée.

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Vous l’aurez donc compris pour la santé, le bien être, la longévité et la beauté de vos oiseaux les bains ou les pulvérisations sont indispensables.

Le piquage

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Le piquage est un trouble du comportement malheureusement

récurrent chez les oiseaux mal équilibrés psychologiquement,

mal dans leurs plumes ou tout simplement malades qui, au lieu

de lisser leurs plumes saines (la faire passer dans le bec), les

arrachent sur eux-mêmes ou sur un congénère. Quel qu’en soit

les raisons, le piquage doit être pris au sérieux et traité car dans

les cas les plus extrêmes, il peut mener à la mutilation.

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A) DES RAISONS

MÉDICALES

Comme dit plus tôt, la raison du piquage d’un oiseau sur lui

même ou par un autre peut traduire chez le sujet piqué, un certain nombre de raisons médicales. Outre une maladie (virus, organe malade, vers) cela peut traduire la présence de parasites, carences, allergie,s, taille des plumes, assèchement de la peau. Quelle qu’en soit la raison, si elle est physiologique, elle nécessite un traitement rapide, aussi, une visite chez un vétérinaire est nécessaire.

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B) DES RAISONS PSYCHOLOGIQUES

Le piquage dont l’origine est psychologique est, pour vous donner une image sans vouloir m’aventurer trop loin dans l’anthropomorphisme, en quelque sorte similaire à nos tocs (troubles obsessionnels du comportement).

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La solitude peut amener un oiseau à s’arracher ses propres plumes, dans ce cas, deux choses peuvent être mises en place. La première : vous lui accordez davantage de temps et s’il est en cage, davantage de sortie. La seconde, vous lui trouvez un camarade du sexe opposé si vous voulez de la reproduction, du même sexe si vous n’en souhaitez pas (autant ne prendre aucun risque).

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L’ennuie est aussi une chose qui peut amener un oiseau à se piquer. Dans ce cas vous devez lui apporter davantage d’enrichissement : modifier les emplacement des jeux, ajouter de nouveaux jeux, la même chose avec les perchoirs, les mangeoires. Proposez lui des activités de foraging (jeu de fouille dit aussi de fourrage), des perchoirs naturel, différentes matières,… Et cela très régulièrement.

Le stress est un autre facteur qui peut provenir de beaucoup de choses : une cage mal orientée, trop de mouvement, trop d’agitation, trop de bruits,… Le mieux est dans ce cas de déplacer son ou ses oiseaux dans un endroit au calme.

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Le sur-attachement n’est autre que l’incapacité de votre oiseau à se montrer indépendant. Cela arrive très souvent chez les oiseaux qui n’ont pas eu de sevrage psychologique suffisant.

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C) DES CHOSES A NE PAS FAIRE

Cette manie peut rapidement devenir une habitude et pour la faire passer, il y a quelques petites choses à mettre en place pour éviter de renforcer ce comportement. Lorsque votre boule de plumes s’arrache le plumage, il ne faut lui accorder aucune attention pour

ne pas qu’il pense que s’il se pique, cela vous attire et au contraire, lorsqu’il ne le fait pas, n’hésitez pas à le féliciter et accordez lui toute votre attention. Naturellement, s’il s’arrache les plumes, ne le réprimandez pas et ne le punissez pas.

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Dans tous les cas, la plus par du temps, vous aurez besoin d’un professionnel pour vous aider à résoudre de problème qui ne doit pas être pris à la légère.

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Envie d'idées de tentatives de diversions pour votre oiseau qui se pique ? C'est ici !

L'alimentation

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La qualité, la quantité, la diversité et surtout une alimentation COMPLÈTE & ADAPTÉE joue très fortement sur a qualité du plumage de votre oiseau. Il est indispensable de veiller à couvrir tous les besoins de l'espèce que l'on détient.

Le lissage des plumes

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Tous les propriétaires d’oiseaux l’auront remarqué, nos

oiseaux aiment lisser leur plumage, certains plusieurs fois

par jour, mais pourquoi ? A quelles fins ? Qu’est-ce que c’est

exactement ?

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Le lissage des plumes est une activité qui dans laquelle

l’oiseau fait glisser une à une chacune de ses plumes dans

son bec de son début à sa pointe.

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Cela permet à nos boules de plumes d’abord de se nettoyer, à l’image des bains. Le lissage permet également aux plumes de garder leur capacité à résister à l’air et à assurer la thermorégulation de nos oiseaux. Lors de cette activité nos compagnons en profitent pour se débarrasser des anciennes plumes usagées.

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Ce comportement naturel est donc indispensable au bien être de nos oiseaux, à la beauté de leur plumage et à leur bonne santé.

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